On le doit à Jean-Jacques Rousseau. Il s’agit des « Institutions chimiques ». On sait que Rousseau s’intéressa à la botanique, à travers de nombreux herbiers qu’il composa. A la nomenclature des flores aussi. Cette fois, c’est à la chimie. Et cela dans le siècle qui, à travers l’œuvre de Lavoisier, la révolutionna.
Ce rendez-vous de la SIAM JJR trouve dans ces « Institutions chimiques » le prétexte pour poser la question de savoir qu’elles furent les rapports entretenus par Rousseau avec les sciences de son temps.
Son intérêt pour la chimie, plus confidentiel, est pourtant capital dans son oeuvre.
« Si nos sciences sont vaines dans l’objet qu’elles se proposent, elles sont encore plus dangereuses par les effets qu’elles produisent. Nées dans l’oisiveté, elles la nourrissent à leur tour ; et la perte irréparable du temps est le premier préjudice qu’elles causent nécessairement à la société », écrivait Jean-Jacques Rousseau dans son Discours sur les sciences et les arts publié en 1750. Premier livre du philosophe, ce Discours valut à son auteur tant une soudaine renommée qu’une réputation tenace de contempteur des sciences, au mieux ignorant, au pire obscurantiste. Pourtant, Rousseau ne cessa toute sa vie de s’intéresser à diverses sciences.
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Christian Didier
Président
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Pour répondre à votre question, pour moi ça dépend. Le matin après un bon café est le plus probable, mais il n’est pas exclu que cela se produise également l’après-midi, voire en fin de journée, dégagé de l’emprise psychologique du travail.
Le café est déjà un ingrédient naturel, certes mais aussi psychotrope… attention aux excès.